Dans cette pièce le châssis, n’est plus seulement un support de toile plane, il devient la base aérienne de la structure. Il semble porté par la sculpture qui est, quant à elle, amarrée par un maigre fil au sol. Le tissu plâtré de haut en bas, tient de lui-même. Une fois sous la structure, l’on peut apercevoir, par transparence, les gestes de construction manuelle . Ce projet joue avec les contrastes: une légèreté apparente pour une structure, en réalité lourde et solide; ou encore, l’existence complètement éphémère d’une pièce dont l’élaboration nécéssite un grand déploiement physique et technique.
Continuité du développement de la sculpture autonome par son autoportance dans l’espace.